Portrait de la photographe Nadège Fagoo
© Richard Baron

Nadège Fagoo

Très jeune, Nadège Fagoo écrit et photographie pour retenir le temps, pour fixer les souvenirs.

Adolescente, elle crée avec une amie, L’échappée belle, une revue de littérature dans laquelle elle publie les écrits de nombreux auteurs contemporains. Les textes seront progressivement accompagnés de photographies.

Elle utilisera de plus en plus la photographie pour décrire l’intime.

Sa passion pour la reproductibilité l’incitera à suivre des études en arts graphiques durant lesquelles elle apprendra à imprimer sur des presses rotatives.

Son goût pour les récits autobiographiques l’amènera naturellement vers l’œuvre d’Annie Ernaux.

Taphophile, elle vit en face du cimetière dans lequel repose Nadja, la muse d’André Breton.

Nadège Fagoo a toujours été captivée par la mémoire et fascinée par le langage universel de l’image…

Elle est à l’initiative de missions photographiques pour des institutions et pour la presse nationale, avec une attirance particulière pour les portraits intimes.

Elle approfondit de façon personnelle des sujets comme le deuil, la filiation ou la santé mentale en imaginant des dispositifs innovants qui allient la recherche et l’expérimentation.

Sa page sur le site de l’agence Light Motiv.